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Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 09:55

 

Nous avions juste échangé quelques mots, parlé photo. Un petit sms pour marquer mon intérêt, mais rien ne pouvait indiquer ce qui allait suivre. Nous ne nous doutions de rien et c'est ce qui faisait la beauté de cette rencontre.

Nous voilà à la nouvelle année, 365 jours s'offre à nous ou plutôt 364 puisque ce 1er jour est déjà bien entamé. Je ne pensais pas tomber sur toi mais je l'espérai fortement. Le destin a joué en ma faveur. Nous échangeons les amabilités d'usage en ce 1er janvier. Nous parlons comme si nous nous connaissions, impression bizarre étant donné que nous ne nous sommes jamais vu.

En discutant, nous nous rendons compte que nous sommes voisins, quelques pâtés de maison nous séparent. Le temps est idéal pour quelques prises de vue, tu me proposes un tour sur le bord de mer pour admirer le soleil couchant. Why not ?

Quelques minutes plus tard, un beau carrosse m'attend en bas de chez moi. Je peux en dire autant de son conducteur, un brun ténébreux éclairé d'un large sourire méditerranéen, de quoi succomber. Ne te mets pas martel en tête, tu ne sais rien de lui.

Après un court trajet, nous nous retrouvons sur la promenade des Anglais bondée en ce 1er janvier après-midi. Autour d'un café et à mon plus grand étonnement, tu me contes ta vie. J'écoute, je commente, pose quelques questions. L'heure fatidique du retour approche. Quelques heures entre parenthèse dans nos vies respectives. Dans ta voiture en bas de chez moi, nous n'arrivons pas à interrompre la conversation. Tant de sujets restent à évoquer. Une envie subite me pousse à te poser La question : Ai-je droit à un baiser ?

Oui. Ton baiser est à l'image des miens, généreux, entier et excitant. La découverte d'une bouche est tellement exaltante, divine et prometteuse que je ne pouvais résister. Pourtant, je sais que je ne pourrai jamais avoir la place que je souhaiterai dans ta vie. Mais qu'importe. L'instant présent est plus fort que tout, je te veux et si je ne dois avoir que ce simple baiser, je le prendrais avec le plus grand des plaisirs.

Ce premier baiser ne dure que quelques secondes mais il est surprenant. Surprenant, parce qu'il est en totale opposition avec tes dires. Tu n'as pas de place dans ta vie tumultueuse pour moi, mais ce baiser laisse penser tout le contraire, j'en reste interdite. Que penser ?

Un deuxième baiser encore plus savoureux scelle notre courte rencontre. J'en veux encore mais l'heure a tourné plus vite que nous l'avions ressenti et tu dois t'envoler vers tes obligations. En bas de chez moi, je m'interroge sur une éventuelle prochaine rencontre. Je me crois masochiste, « Tu ne peux l'avoir mais tu le veux en dépit du bon sens. Bêta que tu es !!! Fais une croix dessus et tu ne t'en porteras que mieux. »

Le lendemain soir, toujours sans nouvelles, je me dis que la croix est tracée. Plus d'incertitudes à avoir, l'histoire est close. Je vais me coucher. Un instant après ces conclusions, le téléphone sonne. C'est toi. Je suis surprise mais ravie.

Tu as été étonné par le naturel de nos échanges, l'écoute que je t'ai prêtée. La simplicité de notre rencontre. Un embryon de béguin nous unit. Retournement de situation, Humm ! Je suis agréablement surprise par la réciprocité de nos ressentis. C'est assez rare pour retenir encore plus mon attention. Nous discutons ainsi pendant un long moment entrecoupé par des coupures de ligne, tu es en voiture et la couverture réseau est mauvaise. Qu'importe, tu veux parler et je suis toute ouïe. De cette discussion, il ne me reste qu'un ressenti sublime. Les mots et les phrases se sont dissous.

Le lendemain, j'ai des nouvelles de toi. Tu as envie de me voir mais comme souvent ton emploi du temps joue en ta défaveur. Tu essayeras de passer plus tard mais rien n'est sur. J'essaye de ne pas montrer mon impatience, l'attente de mon corps contre ton corps, ta peau contre ma peau. Que ton odeur se mélangeant à le mienne. Que de choses me font fantasmer à ton propos.

Je vais me coucher en espérant fortement finir ma nuit dans tes bras chauds. Comme la fois précédente, je suis aux portes du sommeil quand tu appelles pour me prévenir de ton arrivée imminente. Je ne prends pas la peine d'enfiler des vêtements, un simple tee-shirt long m'habille. Je suis nue en dessous. Les cheveux en bataille, les yeux pleins de sommeil, je t'ouvre la porte.

J'adore ton sourire, charmant et avenant. Tu me prends dans tes bras. Un rapide baiser et je t'entraîne vers ma chambre. Je suis frigorifiée et tu vas me réchauffer ! Comme un couple qui se retrouve, je me glisse sous la couette et te regarde te déshabiller. Je découvre pour la première fois ton corps. A ton tour, tu te glisses sous la couette et je colle mon corps au tien. Les voilà enfin réunis !

Ta main se glisse sous ma nuque pour m'approcher de ton visage. Tu m'embrasses, je sens les picotements de ta barbe sur la peau fine et sensible de mon visage. J'ai tellement envie de tes baisers que j'ignore cette sensation désagréable. Je le regretterai sûrement demain. Mais demain est bien loin pour l'instant. Le temps semble s'étirer sous tes coups de langue. Nous nous embrassons à pleine bouche, comme des adolescents pré-pubères voulant explorer la moindre parcelle de bouche atteignable. Nos salives se mêlent, donnant un élixir aphrodisiaque qui nous pousse encore plus vers l'exploration méticuleuse de nos corps respectifs.

Je n'ai fait qu'entrevoir ton corps, je suis comme une aveugle qui découvre à travers le toucher de ses mains les courbes de ton torse. Je glisse lentement ma main, pour bien ressentir les moindres détails de ta peau, la texture, la pilosité. J'ai envie de savourer tactilement chaque centimètre carré de ta peau. Nos bouches s'unissent à nouveau et cette sensation délicieuse se renouvelle. Tes baisers s'accordent aux miens tels deux bouches routinières. Comment ai-je pu apprécier d'autres baisers avant les tiens ? Ils n'étaient que de pâles copies de baisers. Je veux ta bouche sur la mienne, encore et encore. Ma bouche avide de la tienne, s'offre et te dévore. Mon corps se cambre à chaque caresse de tes mains. J'ai envie de toi, chaque seconde est un plaisir, un plaisir des sens. Chaque seconde est une torture, une torture parce que j'ai tellement envie de te sentir en moi, que chaque seconde me brûle et fait monter la température en moi. Je suis fébrile et tellement sereine à la fois. Tes bras m'apaisent, m'enlaçant et me palpant.

Tu caresses du bout des doigts mes tétons dressés. Puis, les emprisonnent dans tes mains. Ta bouche vient les rejoindre, contournant le pique que forment mes tétons. Puis elle remonte le long de la pente pour atteindre le sommet et le gobe. Tu l'aspire et le mordille, provoquant des râles de plaisirs. Ma main glisse le long de ton torse légèrement duveteux, pour se diriger vers ton sommet. J’atteins la base et commence une lente ascension du bout des doigts. Je sens les reliefs des veines saillantes de ton sexe érigé. Il se redresse au fur et a mesure de ma progression, je le sens. Il a une vie propre. Se nourrissant des sensations de ta bouche et de tes mains qui s'affairent sur mon corps offert. Se nourrissant de mes attentions. Il pointe, bien droit, vers le ciel. Regardant de son œil de cyclope, le but que nous devons atteindre.

Après en avoir exploré les moindres centimètres du bout des doigts, je l'empoigne à pleine main, serrant doucement, j'en éprouve la fermeté. Hum mm, bien dur comme je les aime. J'entame un lent mouvement de va-et-vient, de la base pour le décalotter entièrement, puis vers le sommet. Je redescends en effectuant une flexion du poignet, formant une spirale jusqu'à la base. Arrivée là, j'abandonne temporairement ton sexe pour caresser tes bourses. Elles se contractent sous mes palpations. Elles aiment. Je les prends et les massent avec délicatesse. Ta bouche se fait plus entreprenante comme pour me faire savoir que tu aimes ce que tu ressens.

Je retourne à mes premières palpations pour continuer ce que j'avais abandonné. Ton sexe est plus dur que jamais. Je le cale entre mes deux mains face à face et entreprend un exquis roulé tout en douceur. Ta respiration s'accélère. Comme une confirmation que je suis sur la bonne voie. Je veux t'amener jusqu'à la jouissance, rien qu'avec mes mains. J'en ai envie. Je veux te donner du plaisir. Je veux que tu jouisses.

D'une main, je branle. De l'autre, je masse tes bourses. J'entame une lente accélération de ma première main, je ne veux pas précipiter les choses. De l'autre, je masse tantôt du bout des doigts, tantôt de la paume de la main. J'amplifie mon va-et-vient en serrant ou en desserrant mes doigts. Ta respiration est maintenant haletante. Ton corps se raidit pour retenir au maximum l'explosion finale. Je sens ton sexe durcir, palpiter sous mes doigts. Tu vas jouir, je maintiens mon rythme effréné. Et enfin, tu jouis. Chaque longue contraction expulse la tension, remplacée par le paradis de l'émotion. L'émotion reine ...

  

Par Tacoma - Publié dans : Rencontre
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