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 A bientôt.

 

  

 

Série coquine

Mardi 5 septembre 2 05 /09 /Sep 08:00

 

 

 

 

 

  

 

Une belle journée de dimanche s’annonce. Les premiers rayons de soleil nous ayant réveillé en début de matinée. Après un tour au marché pour faire mes emplettes dominicales, je suis affairée à la cuisine pour nous préparer un repas. Au menu, ratatouille maison avec un poulet préparé la veille et tarte aux quetsches. Les poivrons cuisent au four, les aubergines et les courgettes dans leurs sauteuses respectives pour préserver leurs saveurs. Tout cela, embaumant la maison de son odeur provençale. Je prépare mes ingrédients pour la pâte sablée ; farine, sucre, œufs, beurre. Je t’entends dans le salon, tes doigts pianotant sur ton pc, sûrement confortablement installé sur le divan. J’enclenche la hotte aspirant pour évacuer les vapeurs venant des sauteuses.

 

 

 

 

J’étale sur le plan de travail, les différents éléments de ma préparation et commence à mélanger le tout. La mixture colle à mes doigts. Je continue à malaxer pour la rendre homogène. Complètement absorbée par ma tâche, je ne t’entends pas arriver. Et sursaute quand tu m’enlaces par la taille. Tu murmures quelques mots tendres à mon oreille, suivis par de légers baisers dans le cou. Tu es collé à moi et je sens un début de bosse se former au contact de mes fesses. Ayant les mains toujours engluées dans ma préparation, je te demande de bien vouloir tourner les légumes dans leurs sauteuses, il ne manquerait plus que le repas brûle.

 

 

 

 

Tu t’exécutes et reviens à ton intérêt premier. Tu continues ton inspection buccale de mon cou. Je frisonne, tourne la tête et t’embrasse. Tu sais que le moindre contact avec toi me met dans un état d’excitation intense. Tu poursuis ton idée et soulèves le bas de ma robe, caresses mon entre-jambe à travers le tissu. J’écarte un peu plus les jambes pour que tu es de la place pour ton activité du moment. J’essaye stoïquement de continuer à pétrir ma pâte mais le cœur n’y est plus !

 

 

 

Tu me défais de ma culotte, soulèves ma jambe et poses mon genoux sur le plan de travail. Mes lèvres s’ouvrent sous l’écartement. Tu t’assoies par terre sous moi et colles ta bouche sur ma vulve maintenant inondée. Je sens tes lèvres et ta langue me téter. Je sors comme je peux mes mains de la pâte encore gluante, la pousse sur le coté et allonge mon buste sur le plan de travail qui n’a jamais aussi bien porté son nom. Je me cambre au maximum pour que tu es un meilleur accès à mon intimité. Je sens deux doigts me pénétrer, ressortir et entrer de nouveau. Puis, ils remontent entre mes fesses et caressent doucement mon petit trou, pressant légèrement sur leurs rebords renflés. Dans un dernier instant de lucidité pré-coïtal, j’éteins les deux plaques à gaz et le four en tendant le bras. Le repas est sauvé !

 

 

 

 

A présent, ta bouche épouse parfaitement mon sexe ; lèvres contre lèvres. Ta langue tantôt douce et langoureuse, tantôt frénétique et pointue. Mes mains pleines de pâte se crispent de plaisir. Ma joue est constellée de grain de farine, comme une demi-geisha. Je souffre sous tes assauts buccaux, faisant s’envoler un nuage de farine. De ton pousse, tu appuies sur mon anus, celui-ci se détendant de plus en plus au fur et à mesure que tu m’excites de ta bouche. Je pousse quelques gémissements de plaisirs, t’encourageant à poursuivre sur la même voie.

  

 

 

 

Tu enduis ton index de mes sucs. Et recommences à masser mon petit trou de plus en plus consentant et l’introduis doucement. Je sens mes chairs s’écarter doucement à son passage. Je mors ma lèvre, retenant in extremis un cri. Ton doigt reste quelques secondes totalement enfoncé en moi, tout en entamant un mouvement de rotation. Je gémis sous les sensations que tu provoques en moi. Ton index va-et-vient en moi. Tu sens que mes muscles se détendent et ton majeur vient rejoindre l’index. Mes gémissements deviennent des petits cris entrecoupés de longs soufflements.

  

 

 

 

Ta bouche se détache de mon sexe. Tu te redresses enfin et ne prends même pas la peine de te déshabiller. Ouvrant ton pantalon, tu extrais une verge encore plus gonflée que la normale. Des veines saillantes la recouvrent, je ne l’ai jamais vu aussi tendue. Sûrement l’excitation de la pénétration interdite ! Ton sexe vient d’abord se lubrifier entre mes lèvres, fait un ou deux allers-retours dans ma grotte sous-marine. Puis, le gland s’en va frotter les renflements de ma rosette entrouverte.

 

 

 

  

La position étant assez inconfortable, je redescends mon genou. Des deux mains, tu écartes mes fesses. Presses ton gland à la porte d’entrée, qui s’ouvre doucement. Comme précédemment, tu reste un moment comme ça pour que les muscles se relâchent et que tu ne me fasses pas mal. Quelle prévenance ! Mais te devançant, plaquant mes deux mains sur le carrelage au dessus du plan de travail pour prendre appui, j’implique un grand coup de rein, te faisant pénétrer totalement en moi. Tu viens de me fendre en deux. Je crie.

 

 

 

 

  

Je sens le feu en moi, mêlant plaisir intense et douleur sourde. Tu prends mes hanches en étau et me fourrages doucement. Tu sais que l’équilibre entre plaisir et douleur est mince. Mes entrailles chauffent, brûlent. Je crie à chacun de tes va-et-vient, non pas de douleur mais de plaisir, cri que seule la sodomie peut provoquer. Tu accélères progressivement. Je ne sais plus comment faire pour endiguer les vagues de jouissances qui me percutent à chaque mouvement de ta queue en moi. Ma vulve palpite. Inondée, elle mouille mes cuisses.

 

 

 

 

  

Je mors ma main pleine de pâte pour retenir les hurlements qui remontent des mes entrailles chauffés à blanc. L’orgasme puissant me poursuit depuis plusieurs secondes, j’ai la tête qui tourne. Tu perçois que je n’en peux plus. Tu fais tes derniers mouvements, forts et profonds. Tes doigts se crispent sur mes hanches. Puis, tu jouis en éjaculant en moi. Tu donnes un dernier grand coup comme pour sceller cette étreinte puissante.

 

 

 

Nous nous détachons l’un de l’autre. Je suis pantelante, les cheveux et le visage plein de farine et de pâte. Tu me prends dans les bras et m’emmènes jusqu’à la salle de bain où tu nous fais couler une bonne douche bien chaude.

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Tacoma - Publié dans : Série coquine
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