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Vous trouverez ici des petites nouvelles érotiques et des photos en noir et blanc principalement.

  

   

 

     






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 A bientôt.

 

  

 

Mardi 29 août 2 29 /08 /Août 08:00

 

 

 

 

 

 

 

J’ai envie que tu me touches, que tu me caresses, que tes mains parcourent mon corps, qu’elles suivent les courbes, les monts et les vallées qui me composent. J’ai envie de sentir ta bouche sur mon ventre, tes lèvres sur mes seins, ta langue sur mes tétons. Une chaleur lancinante envahit mon bas ventre, irradie par onde mon corps. J’humecte mes lèvres, savoure leurs rondeurs. Un léger goût d’hydratant stimule mes papilles. Je ferme les yeux quelques secondes, oubliant que nous sommes en voiture, que tu es à coté de moi en train de conduire et que je devrai attendre pour satisfaire mon envie pulsionnelle de te sentir en moi. Encore une demi-heure !

 

 

 Je regarde la route sans la voire. Je sens ton odeur flatter mes narines. La seule odeur qui puisse me mettre dans un état d’excitation intense, rien qu’en y pensant. L’odeur de ton corps, l’essence de toi, tellement simple et tellement subtile à la fois. Je garde sagement mes mains sur mes genoux. Je n’ose pas tourner la tête pour te regarder, je sais que je ne pourrai résister à l’envie d’ouvrir ton pantalon et de te gober en entier. Je patiente comme j’ai appris à le faire grâce à toi ou à cause de toi, je ne sais plus.

 

 

 

 Les minutes passent, me rapprochant de plus en plus de l’instant où je pourrai satisfaire mon désir sauvage de toi. Je sens mes petites lèvres gonfler, baignant de plus en plus dans mon eau de désir. Je fais défiler, dans mon esprit, les images futures de mes actes ; un diaporama fantasmatique. Qui n’a de fantasme que les quelques minutes qui me séparent de notre premier contact.

 

 

 

Tu gares la voiture dans le parking, je sors telle une somnambule de la voiture et t’attends. Je prends ta main, chaude et musclée dans la mienne. Je fais abstraction de l’environnement, je ne pense qu’à ton corps sur le mien, qu’à mes mains sur ton corps. Nous arrivons devant la porte d’entrée, je reprends peu à peu conscience à la réalité. Tu tournes la clef dans sa serrure, la métaphore m’excite encore plus ; toi en moi. Je passe la porte la première, pose mon sac sur le sol et me retourne, attendant que tu franchisses le seuil. Voilà, le moment tant attendu !

 

 

 

 Je te plaque contre la porte qui claque, répercutant son bruit dans toute la cage d’escalier. Mes mains passent sous ton manteau pour sentir la chaleur de ton corps. Elles se pressent contre ton dos. Ma bouche trouve enfin la tienne, ma langue part à la recherche de la tienne. J’ouvre en grand pour te sentir en moi. Je me sers contre toi, sentant déjà ta verge gonflée dans ton pantalon. Tes mains entreprennent de me défaire de mon manteau. Enfin dégagée, tu le lances au loin. Le goût de ta salive m’envahit, titille mes papilles. Je retire fébrilement ton manteau, que je jette sur le mien. Tu attrapes mon pull et mon tee-shirt à la taille, je lève les bras pour que d’un seul mouvement, j’en sois débarrassée. Je me saisis des deux pans de ta chemise et tire un grand coup, les boutons cèdent tous en même temps. Ils tombent au sol dans un bruit cristallin. D’une main, tu prends ma nuque pour un bouche-à-bouche brûlant. De l’autre, tu claques des doigts pour me défaire du carcan de mon soutien-gorge. Nous sommes à présent peau contre peau. Nos peaux sont fiévreuses de désirs l’un pour l’autre.

 

 

 

 

 Nos mains s’attaquent à présent à nos pantalons respectifs. Ouvrant, ceintures et boutons. En descendant le tien, ma bouche s’attarde quelques secondes sur ton sexe à présent complètement érigé. Je le lèche du plat de la langue. Mais aujourd’hui, je ne m’y attarde pas, je veux te sentir en moi, tout de suite, immédiatement. A ton tour, tu baisses mon pantalon. En remontant le long de mon corps, tu soulèves une de mes jambes. D’un coup de langue, tu écartes mes lèvres et lapes mes sucs. Nous voilà entièrement nus, prêts aux choses sérieuses !

 

 

 

 Je lève une des mes jambe et enserre ta taille, ma vulve caresse ton sexe, l’invitant à s’y loger. Tu me retournes, me collant contre la porte, me soulèves et m’empales sur ton sexe turgescent. Je pousse un cri de satisfaction. A présent, mes deux jambes enserrent ta taille, formant un étau charnel. D’un mouvement de bassin et aidée par tes mains sous mes fesses, je fais coulisser ton membre entre mes chairs. L’excitation me fait donner de grands coups de bassin pour faire pénétrer le plus profondément possible ton sexe, ton gland tapant sur le fond de mon vagin.

 

 

 Tu me décolles de la porte et me couches sur le dos. Le carrelage froid refroidit ma peau brûlante. Tu prends une de mes jambes que tu places sur ton épaule, je passe mon bras sous le pli du genou de la deuxième. Tu t’enfonces d’un seul coup faisant claquer tes hanches contre mes cuisses. Je tends mon bras inoccupé vers le mur qui me surplombe pour lutter contre tes assauts sauvages. Tu me pistonnes, entrant et sortant de moi de plus en plus rapidement. Ma respiration se fait anarchique. Les larmes me montent aux yeux sous les premiers effets de ma jouissance. Mes doigts se crispent sur le mur. J’halète, je souffle, je gémis, ne sachant plus que faire pour retenir ce moment de bonheur charnel. Tu continues tes allers-retours de manière aussi énergiques, voulant à tout prix provoque une deuxième vague en moi.

 

 

 

 Sans prévenir, tu te relèves et m’entraînes vers le canapé du bureau. Tu m’incites à m’agenouiller sur le bord du canapé, la croupe offerte à tes outrages consentis. Mes mains viennent s’appuyer sur le haut du dossier. Tu me fais cambrer au maximum. Tu fourrages ta tête entre mes cuisses quelques secondes. Ma vulve inondée par mon excitation intense et mon précédente orgasme, te donnes matière à goûter. Tu te redresses en léchant tes lèvres recouvertes de mon plaisir. Tes mains emprisonnent mes hanches. Tu fends mes chairs de ton sexe, enserré dans mon écrin palpitant. Tes coups de butoir font claquer tes hanches contre mes fesses, comme un bruit de fessée. J’épouse le rythme de tes va-et-vient pour accentuer au maximum la pénétration. Mon plaisir monte le long de ma colonne vertébrale venant de mon bas ventre, il va atteindre mon cerveau pour la deuxième fois. Tu sens mes contractions autour de ton sexe de plus en plus rapprochées et accentuées. Je vais jouir pour la deuxième fois. Ma jouissance précipitant la tienne, tu jouis en moi, de longs jets puissants. Tu restes en moi jusqu’à que nos pulsations jouissives disparaissent et nous nous affalons sur le canapé. Repus et heureux jusqu’à la prochaine fois.

 

 

 

  

Par Tacoma - Publié dans : Série coquine
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