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Vous trouverez ici des petites nouvelles érotiques et des photos en noir et blanc principalement.

  

   

 

     






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 A bientôt.

 

  

 

Dimanche 20 août 7 20 /08 /Août 07:14

 

 

 

 

 

 

 

Le téléphone sonne. C’est toi mon amour. Tu as un peu de temps entre deux rendez-vous et tu en profites pour m’appeler. J’adore nos intermèdes téléphoniques. Tu m’annonces que tu vas sûrement rentrer plus tard que prévu. Je ne suis pas étonnée juste un peu contrariée. Je ne le montre pas et poursuis la conversation. Nous parlons de nos ébats de la veille, de l’amour indéfectible qui nous unit et qui rends chaque union de nos corps aussi forte qu’un tsunami. Je commence à décrire ce que j’aimerai te faire, là, dans ton bureau. Tu m’écoutes et au son de ta voix, je sens que j’ai fait mouche et qu’une inévitable érection se profile à l’horizon. A ton tour, tu m’expliques ce que tu aimerais me faire. Je souffle dans le combiné, l’excitation monte en moi. Je glisse ma main entre mes jambes pour contrôler le taux d’humidité dans la forêt tropicale. La température monte doucement mais sûrement. Tu sais comment me prendre aussi bien verbalement que physiquement. Tout cela étant réciproque ; l’amour total en somme.

 

 

 

 

Je décris avec moult détails, mon fantasme de l’instant. Moi couchée à demi-nue, les pieds sur chacun de tes accoudoirs de ton fauteuil de « ministre ». Ma vulve offerte à ta vue et à tes attentions, prête à subir tes privilèges buccaux et ta dextérité de pianiste. Puis moi, agenouillée à tes pieds, caressant ta virilité et la gobant...

Tout cela en pleine journée, alors que hors de ton bureau, tout le monde vaque à ses occupations professionnelles bien mornes. Je me mordrai pour retenir les cris que tu provoquerais en moi, allant jusqu’à mordre ma main ou un quelconque objet à ma portée. Je crierai en silence au milieu de tes dossiers, journaux et pc. Nous nous rhabillerions avec un sourire béat aux lèvres que, nous seul, pourrions comprendre. Puis, tu retournerais à ton travail tout en ayant encore l’esprit à nos ébats. Et moi, je rentrerai sagement chez nous, heureuse et comblée. Impatiente de remplacer ce souvenir par un plus récent. Il n’existe pas d’appétence à toi, ni pour toi à moi. J’ai toujours faim de ton corps et de tes honneurs. Ton rendez-vous vient d’arriver, tu dois me laisser. Je t’attends chéri et je raccroche.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ta voix m’a quitté mais pas mon envie de toi, ni mon excitation humide. Je continue mentalement mon fantasme bureautique en me disant que demain je vais venir te faire une visite surprise. Au préalable, me dis-je, pensez à appeler sa secrétaire pour connaître son emploi du temps. Oui oui oui, excellent projet pour demain, tu vas payer pour ce retard et en nature s’il vous plait. La soirée se déroule de manière monotone et morose sans toi. Je n’ai goût à rien, ni la télé, ni un livre, n’arrive à te supplanter dans mon esprit. Je le laisse vagabonder au gré de mes envies libidineuses. Je fini par aller me coucher toujours en manque de toi en me disant que demain je me rattraperai.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques minutes près avoir touché l’oreiller, je suis dans les bras de Morphée. Mes rêves exhument toutes mes envies en une orgie de positions, une frénésie de queues dressées. Une dizaine de clones de toi ne prenant, me touchant, me pénétrant, me suçant…. Endormie, je gémis, je couine devant ce rêve érotico-bizarre. Mon corps lui ne fait pas la moindre différence entre la réalité et la fiction. J’humecte mes lèvres, les caresses de ma langue, mes seins pointent, mon sexe salive et brûle en même temps. C’est à ce moment là que tu rentres, fourbu par ta longue journée de travail, mais heureux de rentrer et de me retrouver. Tu entres dans la chambre, laisses la porte entrouverte pour qu’un rai de lumière apporte un peu de clarté. Pendant que tu te déshabilles, tu entends les petits bruits que j’émets. Tu les reconnais et comprends tout de suite que je suis en pleine ascension onirique. Tu me rejoins dans le lit, dépose un baiser affectueux sur mon front et commences une première reconnaissance tactile de mon état d’excitation : tétons pointés, vulve inondée et bruits persistants. Tu en conclus que je suis à point pour une manœuvre à tir réel. Tu sais aussi que j’adore que tu profites de moi et quand rêve et réalité se confondront, je jouirai comme jamais.

 

 

Mes exercices oniriques continuent de plus belle. Je sens un de tes clones sucés mon sexe. Mais est-ce toujours un rêve ? Tu écartes doucement mes jambes pour y glisser ta tête. Tu ne veux pas que je me réveille. Là, ta bouche vient embrasser mes lèvres, les grandes puis les petites. Tu goûtes mon excitation. Ta langue va et vient doucement. Tu relève quelques secondes la tête pour voir si je suis toujours endormie. Oui, je le suis. Tu fourrages, tu explores, tu humes les senteurs de ma vulve. Mes gémissements se font de plus en plus forts et intenses. Je semble aimer ce baiser intime. Tu taquines mon petit bouton, l’agaces, l’aspires et finis par l’emprisonner entre tes lèvres serrées. Je me crispe de plaisir. Ta langue continue de plus belle. Variant les rythmes et les mouvements. Ta salive et mon nectar se mélange, goût merveilleux et sensation enivrante. Ta langue entre en moi et y tournoie. A ce moment, sous mes sensations oniriques et réelles, j’émets un râle de plaisir suivi d’un soupir de contentement. Mon premier orgasme de la nuit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je suis toujours dans les bras de Morphée, ou plutôt ceux de tes clones. Le clone cunni s’évapore et est remplacé par un autre clone. Sa verge fière et tendue à l’extrême s’approche de ma grotte luisante de désir. Il s’approche de moi. Dans la chambre, tu sembles calquer tes mouvements sur ton double onirique. Tu remontes vers moi pour la pénétration finale. Vous entrez en moi simultanément. Mon rêve se confond avec la réalité. Tu t’enfonces progressivement, doucement, tendrement jusqu’à que tes hanches viennent butées sur l’intérieur de mes cuisses. Reste quelques instants là sans bouger, puis repars en sens inverse. Tu ressors complètement, frottes ton gland sur mes lèvres puis entres à nouveau. D’une main, tu places ma jambe sur ta hanche et fait de même pour la deuxième. Position missionnique, mais oh combien jouissive. Tu accélères doucement le rythme de tes mouvements. Mon bassin vient à ta rencontre comme pour t’avaler plus vite et plus fort. Tu me sens au paroxysme de mes sensations et que mon deuxième orgasme ne sera pas long à venir. Nous entamons de concert, la dernière ligne droite vers la jouissance. Toujours endormie, mes mains viennent saisir tes biceps. Nous maintenons la cadence, nous sommes sous tension. La promesse d’orgasme approche. Tu sens les spasmes de mon vagin qui enserre ton sexe. Ma jouissance provoquant la tienne. Je pousse mon deuxième soupir de contentement. Tu constates médusé que je ne me suis pas réveillée. Mon rêve s’évanouit et je replonge dans un sommeil profond. Tu déposes un tendre baiser sur ma bouche et te couches à mes cotés pour venir mes rejoindre de nouveau dans tes rêves.

 

 

 

 

 

 

 

Par Tacoma - Publié dans : Série coquine
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