Le soir venu, en attendant son arrivée, je me prépare, passe sous la douche. Puis, pour que ma peau soit douce et propice aux caresses, je m’enduis de crème, n’oubliant aucun recoin. Je traverse l’appartement nue, me demandant quelle tenue engageante, je vais bien pouvoir mettre. J’opte pour une tunique blanche laissant entrevoir la naissance de mes seins opulents et un pantacourt. Je chausse mes petits petons peint en prune de tongs noires. Je farde mes joues d’une touche de couleur, j’illumine mes yeux de mascara assortie d’un far couleur fumée. Me voilà fin prête !

J’attends son arrivée, fébrile mais pas anxieuse. Dans la rue en bas de chez moi, j’aperçois mon rendez-vous. Pour en avoir confirmation, je lui téléphone. Il décroche c’est bien lui. Un colosse, 1 mètre 90 et presque 100kg et que du muscles. Il monte les escaliers, j’aperçois enfin son visage, carré comme sa carrure, un sourire éclairant son visage. Je le devance et lui saute presque au cou. Il reste un peu surpris par ma spontanéité. Il entoure mon corps de ses bras et me serre doucement. Je sens les reliefs musclés de son buste. Et les effluves de son corps atteignent mes narines, j’hume avec délice, odeur subtile mais très agréable. Il est entièrement vêtu de noir, une chemise largement entrouverte sur sa poitrine large et vallonnée, un faible duvet la recouvre. Je l’invite à rentrer, lui fais rapidement visité les lieux et lui propose un verre. Comme un aimant, je me sens attirée par son corps. Je me presse contre lui. Cette proximité me rend fébrile. J’ai envie de gouter sa bouche, de sentir sa langue en moi.

Quelques minutes après notre première rencontre réelle, j’ai une envie viscérale que son corps s’unisse au mien. Je m’approche de son visage et lui dépose un baiser chaste sur les lèvres. Il les entrouvre et un baiser profond s’engage. Sa langue est à son image ; large et épaisse. Elle dépasse la frontière de mes lèvres et s’insinue en moi. Sa langue pénètre entièrement ma bouche, comme aspirée par mon envie. Nous nous enlaçons passionnément. Je me sers fort contre lui. Je l’invite de la main à s’asseoir sur le canapé et le chevauche pour lui faire face. Je sens sous mes fesses les débuts prometteurs d’une érection. Hum réactif, ça laisse présager que de bonne chose, notamment une longue nuit blanche. Ses mains passent sous ma tunique, caressent doucement mon dos nu. Ses mains s’orientent vers le recto, venant effleurer du bout des doigts mes seins, j’en frissonne.

Sa bouche dépose des baisers sur mon visage, sur mon cou laissant un léger picotement s’unir à la douceur de ses lèvres et de sa langue. Sa barbe naissante me chatouille agréablement. Je me déleste de mon haut et bombe la poitrine. Mes seins enfermés dans leur carcan de dentelles pointent résolument vers lui, comme pour quémander quelques attentions tactiles ou buccales. Il les prend à pleine main et les palpe doucement, un son de contentement s’échappe de mes lèvres entrouvertes. Il en découvre délicatement un, et le baise. Fait courir sa langue sur ma large aréole. Il se dresse immédiatement, attendant d’être gober entièrement. Il l’aspire, le titille de sa langue et le mordille doucement. Ma respiration se fait plus rapide. Mes mains courent sur sa large poitrine, caressant son duvet soyeux. Moi qui suit une adepte des imberbes, je me laisse emporter, séduite par la sensation douce de sa pilosité.

Lors des pérégrinations de mes mains sur son corps, je presse sur une blessure faite lors de son entrainement. Je saisie l’occasion pour lui proposer de manière intéressée un massage. Il s’empresse d’accepter. Je l’entraine dans ma chambre et l’allonge sur mon lit en le délestant au passage de sa chemise. Il se couche sur le ventre, laissant offert à ma vue, ses fesses rebondies et son dos endolori. De nouveau, je le chevauche, enduit mes mains de crème, les frotte légèrement l’une contre l’autre pour la chauffer. Je suis assise sur ses fesses, mes jambes de part et d’autre de son corps, légèrement écartelé par l’imposante du monsieur. J’appose mes mains sur ses dorsaux, je masse, je pétrie. Mes mains ne touchent que du muscle, malgré ses 100kg il est sec. Grande expérience, superbe corps presque bodybuildé. Je chauffe son dos et pas seulement ! Moi aussi, je monte en puissance. Je sens mon entre-jambe s’éveillée, elle commence à s’humidifier. Lui, savoure ces attentions, il me trouve très douée de mes mains, et encore il n’a pas tout vu. La nuit ne fait que commencer.

J’ai les mains poisseuses de crème, je vais me lever mais il m’arrête. M’attrape doucement par le bras et m’attire vers lui, m’enlace et pour récompense de mes bons soins, s’ensuit un baiser fougueux. M’assoit sur lui en tailleur, me sert fort contre lui et me défait des derniers vestiges de mes vêtements, me laissant simplement en slip. Le toucher m’a excité, je sens que de mon entre-jambe, la cyprine suinte, imprégnant le tissu. Je suis en nage et lui a une belle érection. Sur mon ventre, je sens sa verge large et longue. C’est fou, tout chez lui est assorti, même son sexe. Je me retiens de lui prendre à pleine main sa queue et de me l’enfoncer profondément en moi. Il me retourne et m’allonge sur le lit, glissant vers le buste, il lèche mes seins. Et sans que je m’y attende, plonge vers ma vulve, écarte rapidement le tissu qui lui cache l’accès à mes lèvres et lape de grands coups de langue. Je gémis, attrape la tête de lit en me contorsionnant de plaisir. S’il continu ses supplices divins, je vais jouir avant même qu’il me pénètre.

Il se décide enfin, enfile prestement un préservatif, et frotte son gland sur l’entrée, presse légèrement. Je suis totalement ouverte, je veux qu’il me comble. Je suis au supplice, je le veux en moi. Et lui, il prend son temps, entre doucement le gland et le ressort. Je lui attrape les fesses et l’attire profondément en moi. Me voilà comblée, remplie, et sur la voie de la jouissance. Il me fait l’amour lentement, montant et descendant en moi. Chaque mouvement me fait hummmmmm ... un effet explosif, je suis de la nitro, je m’agite, je suis prêt du point d’implosion. Et le détonateur, c’est sa queue en moi. Mes mains se crispent sur la tête de lit, je fais finir par la démonter. Je sens chaque relief de son sexe frotter contre les parois de mon antre. Provoquant des ondes de plaisir de plus en plus fortes irradiant dans tout mon corps. Ma vulve pulse, palpite. Le seuil critique est là, j’implose avec délectation. Je n’en fini plus de jouir, je suis en transe, complètement dépassée par la puissance et la persévérance des sensations. Je ne suis plus moi, je suis jouissante purement et simplement.