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Rencontre

Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 20:12

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rendez-vous est donné dans un café, fin d’après-midi, une ambiance chargée de fumée et d’odeur de café assaillent mes narines quand que je franchis la porte battante. Je fais un tour du regard pour repérer une table vide, je souris en voyant qu’une place est libre dans le fond, je m’assoie sur la banquette, laissant la place près du mur à mon futur comparse. Je suis en avance et en profite pour commander un cappuccino. Le temps que le serveur m’amène ma boisson, je le vois entrer. Je lui fais signe de la main pour qu’il me repère dans le café bondé. Son visage s’éclaire quand il me voit, il slalome pour me rejoindre. Je me pousse pour le laisser s’asseoir sur la banquette tout contre moi.
 
 
 
 
 
Après, le bonjour d’usage, je le laisse commander et en profite pour farfouiller dans mon sac à la recherche de mon livret. Nous commençons à papoter comme si de rien n’était, cote à cote sans nous toucher vraiment. Nous parlons de nos vies respectives, de nos amours. D’un coup d’œil, il me désigne le livret et me fait un clin d’œil. J’acquiesce en le saisissant, cherchant celui qui sera en adéquation avec la situation. J’arrête mon choix sur « Après-midi coquin ». Je m’installe tout prés de lui, penchant la tête pour n’être entendue que de lui et de lui seul.
 
 
 
 
 
Je commence en susurrant à son oreille « J’ai envie que tu me touches, que tu me caresses », mon souffle caresse son cou à chaque mot, je sens à chaque inspiration l’odeur de sa peau. Je poursuis « que tes mains parcourent mon corps, qu’elles suivent les courbes, les monts et les vallées qui me composent. » Je fais une courte pause pour que mes mots s’insinuent en lui, comme une pensée lubrique, vivante. « J’ai envie de sentir ta bouche sur mon ventre, tes lèvres sur mes seins, ta langue sur mes tétons. Une chaleur lancinante envahit mon bas ventre, irradie par onde mon corps. J’humecte mes lèvres, savoure leurs rondeurs. Un léger goût d’hydratant stimule mes papilles. »
 
 
 
 
 
Je continue mon récit, ma bouche a quelques centimètres de sa peau, mais pourtant inaccessible. J’entends sa respiration s’accélérer lentement. Je sais qu’il attend ce moment depuis longtemps et que cela n’en est que meilleur. « Je n’ose pas tourner la tête pour te regarder, je sais que je ne pourrai résister à l’envie d’ouvrir ton pantalon et de te gober en entier. » Je commence à avoir du mal à suivre le récit, les mots prenant corps en moi, s’immisçant par mes oreilles, poursuivant leur chemin sur leurs lancées, atteignant en ligne droite mon cerveau et mon entre-jambe. Je sais que sa queue doit déjà être en demande d’attention.
 
 
 
 
 

« Ma bouche trouve enfin la sienne, ma langue part à la recherche de la tienne. J’ouvre en grand pour te sentir en moi. Je me sers contre toi, sentant déjà ta verge gonflée dans ton pantalon………D’un mouvement de bassin et aidée par tes mains sous mes fesses, je fais coulisser ton membre entre mes chairs. L’excitation me fait donner de grands coups de bassin pour faire pénétrer le plus profondément possible ton sexe, ton gland tapant sur le fond de mon vagin » Sa respiration se fait haletante. Il se lève précipitamment, me bousculant presque et me glisses à l’oreille « Viens me rejoindre ». Je le vois filer agilement vers le fond du café, obliquer à droite et descendre par l’escalier en colimaçon vers les toilettes, seul lieu calme et discret pour ce qu’il me réserve surement.

 

 

 

 
 
 
 
 
Quelques secondes après lui, je me lève et remballe mes affaires, n’oubliant pas le fameux livret, raison de notre venue en ce lieu. Je marche sur ses pas pour le rejoindre. Je descends les escaliers, fiévreuse de désir, ravie de mettre en pratique mes écrits. Contrairement à la salle, les toilettes sont vides. Heureusement pour nous, le lieu est mixte, ce qui n’éveillera pas les soupçons quand à notre présence. Je pousse lentement la porte d’une des cabines, me demandant s’il est bien derrière la porte. Je le trouve pantalon sur les chevilles, sa queue pointant vers le ciel, gonflé à bloc. Il me saisit un peu brutalement par les épaules, me retourne contre le mur opposé et fait voler ma jupe pour laisser apparaître ma lune ronde. Il tire sur mes hanches pour me mettre en position, prend mes fesses à deux mains en les écartant largement. Je ne bronche pas, je retiens presque mon souffle. Mon excitation, n’étant pas retenue par une quelconque protection, a largement coulée sur mes cuisses et sur ma raie.
 
 
 
 
 
Sa queue n’a même pas besoin d’être guidée, elle trouve d’elle-même son chemin et s’enfonce sans résistance entre mes chairs en feu. En préambule, je me vois infligé un vigoureux traitement, provoquant de bruyant claquement à chaque coup. Ses bourses viennent s’écraser comme des massues sur mes lèvres. Je suis en train de payer pour toutes les semaines d’attente où je l’ai chauffé à blanc sans daigner le voir. Pour parachever la sanction, il attrape une large poignée de mes longs cheveux et les tire douloureusement vers lui. Je suis écartelée entre la douleur, somme toute supportable, et le plaisir grandissant qu’il provoque en moi. Puis, sans crier garde, il s’arrête. Je vais pour protester quand il entame une lente et profonde pénétration. Après la frénétique cavalcade qu’il m’a infligée, je savoure d’autant plus la douceur de ses va-et-vient. Le léger bruit de frottement humide qui me parvient m’excite autant que les bruyants bang-bang de ses hanches sur mon cul. Mon plaisir s’en trouve renforcé, je sens déjà les petits picotements, prémisse de ma jouissance, se propager dans mon corps par onde rapprochée.
 
 
 
 
 
Des effluves de ma mouille embaument la cabine exigüe. Sa lenteur ne fait qu’augmenter mon plaisir. Il a tout le loisir de tâter la croupe, entourant mes fesses de ses caresses. Il les écarte largement pour contempler mon petit trou ourlé. Déjà trempé par ma mouille, il passe son pouce pour en éprouver les contours qui s’ouvre doucement en corolle. Je suis tellement excitée par les reliefs de sa queue coulissant en moi, que lorsqu’il presse devant ma deuxième entrée, elle l’aspire goulument. J’en profite pour me contracter un peu et le sentir au mieux. Les quelques va-et-vient de son pouce m’arrache un grognement de satisfaction. Il prend ça comme un assentiment de ma part et présente son gland devant cette nouvelle entrée béat. Sa queue est entièrement lubrifiée par mon abondante mouille, je meurs d’envie qu’il m’encule.
 
 
 
 
 
Au moment où il commence à pousser pour m’empaler, la porte des toilettes s’ouvrent, laissant entendre les bruits de la salle en haut. Deux rires cristallins nous laissent penser que deux femmes viennent d’entrer pour se soulager. Il se fige juste devant l’entrée de mon cul. Nous retenons nos respirations, conscient que le moindre bruit révélerait notre présence et surtout l’activité inavouable à laquelle nous nous adonnons. Elles entrent dans les deux cabines qui entourent tout en continuant à papoter joyeusement, ne se doutant en rien de notre présence. J’en profite pour tourner la tête pour le voir, je le regarde bien dans les yeux, il a l’air anxieux mais ne débande pas pour autant. Je lui sourie et pousse mon cul vers sa queue. Mon trou n’offre aucune résistance et commence à l’enfourner. Je vois qu’il s’efforce de retenir un grognement de plaisir. Et là, je jouis en silence, les larmes me montent aux yeux. Il voit sa queue doucement disparaître entre mes deux lunes. Je coulisse le plus doucement possible, autant supplice que jouissance. Le temps nous parait une éternité, les deux perturbatrices finissent pas sortir de leurs cabines et un bruit d’eau qui coulent nous rassure quand à l’imminence de leur départ. L’attente est un vrai supplice délicieux.
 
 
 
 
 
Quand enfin, la porte claque et que nous sommes de nouveau seul. Il est totalement en moi, je suis remplie. Il se penche sur mon dos et me murmure à l’oreille « J’adore voir ma queue disparaître en toi » Il se saisit de mes hanches et redevient maître de la situation. Il coulisse dans l’autre sens, me rendant tout vide de son absence. Il sort presque entièrement, laissant juste son gland en moi. J’ai envie de lui crier « Encore… » Comprenant ou devinant mon envie d’être rempli. Il recommence sa lente progression. Une deuxième vague de jouissance m’atteint de pleins fouets, je couine de satisfaction en laissant échapper de mes lèvres entrouvertes un râle de plaisir certain. Il continue à coulisser entre mes chairs doucement, lentement. Je sens sa queue se contracter. Et comme pour sceller notre coït de la même manière que nous l’avons commencée, il accélère brutalement son rythme, m’écartelant sous ses assauts. Dans un dernier mouvement profond et complet, il se décharge en moi, sa queue secouée par les jets successifs de sa jouissance.
 
 
 
 
 
Je suis pantelante sous mes deux jouissances consécutives et lui a l’air radieux d’avoir satisfait à ses désirs et aux miens aussi. Nous nous rhabillons en silence, lissant nos vêtements froissés pour paraitre présentable. Il dépose un baiser somme tout bien chaste après nos ébats sur mes lèvres et nous sortons de la cabine. Dans les escaliers remontant à la salle, il glisse une dernière fois sa main sous ma jupe, je m’arrête et écarte un peu plus mes jambes. Il introduit successivement son doigt dans mon cul puis dans ma chatte, et portant son doigt à sa bouche, le tète goulument. Grand dieu, ce simple geste, même après mes deux jouissances, ravive mon envie. Dans la salle toujours bondée, personne ne nous prête attention. J’attends qu’il règle l’addition et nous partons comme si rien ne s’était passé.
 
 
 
 
Merci à Mr T pour l’inspiration.

Par Tacoma - Publié dans : Rencontre
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