Catégories

Mon best of Blog

Lecteurs   

Compteur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous trouverez ici des petites nouvelles érotiques et des photos en noir et blanc principalement.

  

   

 

     






Bonne lecture et n’oubliez pas de me laisser un petit commentaire.

 

   

 

 A bientôt.

 

  

 

Rencontre

Mardi 24 octobre 2 24 /10 /Oct 08:00











J’ai trouvé mon maitre, il est plus bavard que moi. Je me penche vers lui et l’embrasse. « Ce que je te dis ne t’intéresse pas ? » Voilà qu’il fait l’offusqué alors que voilà une heure, il avait sa langue au fond de ma gorge et ses mains sur mes fesses. Je lui rétorque que ce n’est pas parce que je l’embrasse au milieu de sa phrase que je ne l’écoute pas et que j’avais juste envie de goûter ses lèvres et sa langue. Je me rapproche de lui, l’embrasse pour sceller ma repartie et lui clouer le bec. Si maintenant, les hommes s’approprier les prérogatives des femmes !!!
 
 
 
 
 
La fouge entre nous est de nouveau amorcée. Nous sommes comme aimantée l’un à l’autre, nos bouches sont avides de s’enlacer, mélangeant nos salives. Ses mains s’égarent sur mes seins et les miennes sur son entrejambe, un bosse déformant son jeans. Il cherche l’ouverture de ma tunique en caressant mon buste. Je le laisse faire en ne l’aidant pas. J’aime ce jeu ! En désespoir de cause, il passe ses mains sous ma tunique et caresse mes seins, écarte prestement le fin tissu et joue avec le téton. La manœuvre est limitée, je me lève donc et défais moi-même le zip de mon haut et l’enlève.
 
 
 
 
Je m’assoie de nouveau sur le canapé topless comme lui qui en a profité pour enlever sa chemise. Il s’agenouille à mes pieds se saisit d’une flûte et me verse du champagne sur les seins. Et entreprend de me nettoyer le buste de l’élixir, des effluves d’alcool enivrent mes narines couplée à ses lapements expert. Il me toilette consciencieusement. Sa bouche sur ma bouche me manque déjà. N’y tenant plus, nous dégrafons mutuellement les pressions de nos pantalons. Nus pour la première fois.
 
 
 
 
Que le plaisir soit long et que la nuit soit sans fin. Assis tous les deux sur le canapé, je pose ma tête sur son torse, il me caresse les cheveux. Je dépose des doux baisers sur son cou, sur son visage, m’arrêtant pour susciter une demande de sa part. Il pousse délicatement sur ma tête pour une fellation. Je résiste plus pour le jeu que par manque de désir. Sa queue pointe vers moi, quémandant aussi une immersion. Je la branle comme pour l’apprivoiser, en découvrir les réactions. Elle me parle, sous mes mains et mes allers-venus, je la sens vivre. Je sais qu’elle est impatiente de connaître ma bouche, comme son propriétaire. Qui me dit, comme pour conclure mes pensées que si je suce comme j’embrasse, ça doit être divin.
 
 
 
 
Il s’agenouille de nouveau devant moi, écarte largement mes jambes et plonge sa tête sur ma chatte inondée. La position sépare mes lèvres, laissant ma chatte offerte à ses ablutions. Son visage est totalement maculer de ma mouille. Je le saisis par les épaules et le force à remonter vers mon visage pour me goûter. Je l’embrasse, mon odeur et mon goût se mélangeant à nos salives de façon délicieuse. Il en profite pour me doigter, provoquant un regain de vigueur à mes baisers. Je suis tellement excitée que je lui avalerais la bouche.
 
 
 
 
 
Je me sépare pour le faire asseoir et lui gober la queue. Sa main sur la tête, je le suce, lui baise la queue, je branle de ma bouche. Ma main caressant ses couilles, je les sens se raffermir et se contracter sous mes assauts buccaux et tactiles. Les entrainements sont finit, passons aux choses sérieuses, nous nous déplaçons vers la chambre. Je lui prends la main et l’entraine vers le lit. Je monte sur le lit à quatre pattes, lui laissant la vue de ma coupe à combler.
 
 
 
 
 
Il me retourne, je lui fais face à présent, se place entre mes jambes et frotte son gland sur mon antre. Elle est au supplice, elle se sent incomplète, voulant être comblée. Il entre avec douceur, nous laissant le temps de savourer nos sensations. Après seulement quelques mouvements, je sens l’orgasme monter. Il arrête, coupant net l’orgasme naissant. Recommence et arrête de nouveau. Il joue ! Je suis au supplice, je veux cet orgasme. Mais il en a décidé autrement. Je fais l’ascenseur, montant en puissance puis redescendant aussi sec. Je deviens folle. Je l’attrape par la nuque et exige un orgasme.
 
 
 
 
Il me saisit par la taille et me retourne pour se retrouver face à ma croupe, se place entre mes genoux et m’enfile. Il me pistonne en variant le rythme, amarré à mes hanches. Chaque pénétration me comble autant physiquement que jouissivement. Je gravis à chaque coup de butoir un peu plus la montagne de l’orgasme. Je vois le sommet, j’en approche… La montée est délicieuse, exquise autant que l’apogée. Elle arrive aussi fulgurante que les multiples montées. J’explose littéralement, comme de la nitro qui aurait été trop secouée. J’en reste pantoise. Mais assez lucide pour avoir envie d’un autre tour de manège.
 
 
 
 
On se lève, nous retournons au salon finir nos coupes à peine entamées. J’enfile une nuisette en satin noir, c’est qu’il fait quand même frisquet. Je me love à coté de lui profitant de la chaleur de son corps. Ma main se balade négligemment, jusqu'à se fixer sur la zone. Je le caresse à travers son jeans. J’aime sa queue, surtout quand elle est aussi réactive que la sienne. Nous restons un moment, papotant sans vraiment aborder un sujet précis. Notre précédente nuit blanche suivit d’une longue journée de travail nous a épuisé, nous décidons de, définitivement, nous coucher. Sentiment étrange de familiarité alors que nous sommes en définitive de parfait inconnus.
 
 
 
 
 
Allongés cote à cote, il me parle de sa vie, de sa récente séparation. Je le laisse parler, se livrer. La nuit apporte une certaine facilité à la confession. Nous finissons par nous endormir. Seulement quelques heures de sommeil, je me réveille en pleine nuit, avec une envie furieuse de faire l’amour. Lui, dort à point fermé. Je tâte le terrain…assez flasque, mais ce n’est que temporaire. Une douce et experte manipulation et voilà la bête en forme pour un enfourchement. J’écarte la couette pour pouvoir le dominer, passes une jambe de l’autre coté de son corps. Il est à ma disposition, juste au seuil du réveil mais surement trop fatigué pour être totalement réveillé. Je suis à califourchon sur lui, tenant d’une main sa queue pour la guider vers ma fleur carnivore. Les préparatifs ont finit de me préparer, je suis trempée.
 
 
 
 
 
Je m’empale doucement sur lui, rentrant jusqu’à la garde. Reste ainsi quelques secondes pour bien savourer le remplissage. Mon vagin se moulant à sa queue. Je me soulève pour ne laisser que son gland rentré, pour de nouveau l’enfourner totalement. Je sais qu’il ne dort plus, mais il me laisse faire. Je recommence mon petit manège encore et encore. Je sais que je ne jouirai pas de cette manière, mais la situation et la position dominante est en soi assez délectable pour ne pas nécessiter un orgasme. Je fais joujou avec lui un moment, jusqu’à que je sois rassasiée. Puis le libère et me recouche à ses cotés pour finir la nuit.
 
 
 
 






 
Par Tacoma - Publié dans : Rencontre
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus